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Fabriqué à L'Hermitage (35), en Bretagne.
Le bilan statistique annuel 2024, basé sur les achats de 2023, montre que ces objectifs restent difficiles à atteindre. En moyenne, les produits bio représentent 12,1 % des achats et les produits durables et de qualité 25,25 %. Seules 30 % des collectivités atteignent ou dépassent le seuil des 20 % de bio, et 15 % respectent les 50% de produits durables et de qualité[1].
Toutefois, le respect des exigences de la loi EGalim varie selon les segments des collectivités. Par exemple, la restauration scolaire a généralement mieux intégré ces obligations grâce à un cadre structuré, tandis que le secteur de la santé, notamment les Ehpad et les hôpitaux, rencontre davantage de difficultés en raison de contraintes budgétaires et logistiques plus fortes[2].
Les acteurs de la restauration collective sont pleinement engagés et parviennent progressivement à surmonter les obstacles, malgré plusieurs difficultés, parmi lesquelles :
Un budget limité : Les collectivités, confrontées à un budget très serré, doivent faire face au surcoût généré par l’approvisionnement en produits durables et de qualité, ce qui entraîne une augmentation du coût moyen d’un repas, hors participation des familles. Cette hausse a conduit de nombreuses communes à relever leurs tarifs, bien que cette augmentation reste inférieure à la hausse réelle des coûts supportés par les collectivités[3].
Des difficultés d’approvisionnement : 40 % des répondants évoquent une offre insuffisante ou peu diversifiée, et 38 % dénoncent des contraintes logistiques[4].
Un manque de ressources : Le personnel manque de temps et de moyens pour établir un diagnostic EGalim précis et mettre en place des plans d’actions pour structurer ses achats tout en respectant les seuils imposés par la loi.
Face à ces défis, le gouvernement a réaffirmé fin 2024 que l’objectif d’une alimentation durable et de qualité "doit rester une priorité d’action"[5]. Il encourage les collectivités à aller au-delà des exigences légales, notamment via l'inscription obligatoire à la plateforme “Ma Cantine”, et la mise en place de Projets Alimentaires Territoriaux (PAT) en 2023 pour structurer l’approvisionnement local[6].
Le Plan d’Alimentation Durable (PAD) de Paris fixe par exemple des exigences encore plus ambitieuses que la loi EGalim avec des seuils renforcés : 75% des aliments issus de l’agriculture biologique, 100% de produits de saison, et bien d’autres engagements pour une alimentation plus responsable.
Lactalis Foodservice aide les acteurs de la restauration collective à répondre aux exigences EGalim grâce à une large gamme de produits labellisés :
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[1] Bilan statistique annuel de l’application des objectifs d’approvisionnements fixés à la restauration collective. (Données d’achats 2023) Rapport du Gouvernement au Parlement, novembre 2024.
[2] Ibidem
[3] Enquête menée par l’Association des Maires de France sur la restauration scolaire en 2023 : Le coût des produits labellisés est un frein majeur. Le prix moyen d’un repas a augmenté de 7,63 € à 8,49 € en trois ans, obligeant 63 % des communes à revoir leurs tarifs.
[4] Ibidem.
[5] Circulaire n° 6425-SG du 21/11/23 relative à l’engagement pour la transformation écologique de l’État.
[6] Ibidem
[7] Données interne LACTALIS collecte 2023
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